Kotobuki Amaya

Description physique :

Amaya est une très belle fille. Vraiment ravissante, avec un visage d'une grande harmonie! Elle est plutôt grande, et mince aux belles formes (le corps dont tous les garçons rêvent), et mesure 1m68 (par la même occasion, elle pèse 50 kilos, mais ça, c'est un secret !). Elle s'habille dans le style Sweet Lolita, toujours sous des couleurs naturelles (beige, chocolat, blanc..) pour nuancer avec sa teinte de cheveux actuelle: Vert anis. Ses cheveux sont assez longs, raides, et une frange et des couettes s'y installent. Elle a les yeux marron que virent souvent au jaune !! De temps en temps, elle s'accommode de lentilles colorées pour aller avec sa couleur de cheveux. Son look fait partie d'elle à part entière, et est important pour elle. Elle s'y s'en bien, et à l'aise. Elle ne pourrait pas en changer aussi facilement.

Description mentale :

Comme nous l'avons déjà dit, Amaya est une intello, mais n'en donne pas l'impression. Elle est douce, sereine, modeste et exprime sans cesse un sourire enfantin et naïf. Mais malgré ces paisibles qualités, elle n'a rien connu d'autre que la solitude: malgré être allé vers autrui, elle a toujours été rejeté. Ce qu'elle aime par dessus tout, c'est apprendre. Si c'était la seule action que les humains auraient la possibilité de faire, elle en serait ravie. Elle rêve de rencontrer quelqu'un qui partage son savoir, et sa passion pour les cours. Mais rassurez-vous, elle n'aime pas qu'apprendre, loin de là. Certaines fois elle laisse de coté ses cahiers pour rêver. Une sacrée rêveuse! Pour elle, la vie est un rêve, mais un rêve qui peut virer au cauchemar si l'on n'en prend pas soin. Pour préserver ce rêve, elle tient un journal où elle écrit tous ses états d'âme, ses journées, et ses pensées les plus intimes. Elle adore aussi lire, lire et relire. Des livres de genres bien précis: philosophiques, littéraires, et psychologiques (surement par rapport à son père). Amaya a aussi une autre passion, tout aussi incompréhensible: les teintures pour cheveux! Et oui! En ce moment, elle porte une teinte : Vert anis. Sa teinture préférée est: Volcan ardent, une nuance de brun foncé, aux grands reflets roux vifs. Mais passons! Amaya est une des rares personnes qui ne vous jugent pas, et, qui tolèrent tout, mais alors vraiment tout. Exemple: vous lui renversez votre tasse de café sur sa robe, exprès ou non? Vous l’avez insulté ou mal parlé ? Et bien, elle ne dira strictement rien. Aucune forme de colère traversera son esprit et sans aucune rancune. Elle ne fera comme si de rien été, toujours avec un grand sourire naïf. Et continuera, tout de même, cosette enfantine avec vous. Quelque soit votre différence, elle vous acceptera. Elle est comme ça, car elle aurait voulu qu'on l'accepte, elle. Elle est très protectrice et est toujours là pour ceux qui ont besoin d’aide. La cause qu’elle soutient est peut-être perdue d’avance, mais elle s’obstinera à faire de son mieux, de toute son âme. Elle en devient même bornée !! En résumé, une enfant naïve et rêveuse, au grand cœur, et à la grande intelligence, vient faire son entrée au pensionnat Shôta !


Histoire :

Les parents d'Amaya n'étaient pas comme on pourrait le dire, des parents "stables", autant dans leurs actes que psychologiquement. D'après ce qu'on lui avait raconté, sa mère, qui répondait au nom de Yarita Kotobuki (de nom de jeune fille Yarita Mirô) était une droguée. Elle avait pris consommations habituelles et abondantes d'extasie et de cocaïne, ce qui l'avait amené à sa perte. C'est donc le père de la petite Amaya, Nishikado Kotobuki qui s'est occupé d'elle. Mais ce ne fut que de courte de durée, et les rôles furent vite inversés car M. Kotobuki fut pris de schizophrénie (Amaya avait 6 ans). Nishikado racontait des histoires, toutes plus invraisemblables les unes que les autres. Pendant plus de 5ans, elle s'était occupée de lui. Par la suite, lorsqu'elle entra au collège, elle l'envoya dans une maison de rétablissement ou cohabitent des personnes atteint de la même maladie. Appart ses parents, Amaya n'avait pas de famille, du moins, dont elle connaissait l'existence. Elle avait cependant entendu dire qu'elle avait une tante paternelle, qui vivait à Londres, mais elle avait aussi ouïe dire qu'elle s'était jetée du haut du fameux Big Ben lorsqu'elle avait su ce qu’il était advenu de son frère. On pouvait dire qu'Amaya était seule, vraiment seule. Lorsque son père parti du foyer, elle n'avait que 11 ans. A l'école, elle était première de la classe et on ne pouvait pas dire qu'elle avait beaucoup d'amis. Ce qui se comprenait car dès la sortie du collège, elle allait rendre visite à son père, lui faire des petits plats, lui raconté sa journée tout en faisant ses devoirs, puis rentrait illico. Elle n'avait pas le temps de sortir, de décontracter, ni de se faire des amis. Elle n'avait, comme qui dirais-je, pas les occupations habituelles d'une enfant de son âge. Elle ne jouait pas, elle lisait: plutôt des livres de psychologie et des livres d’adultes. Mais tout cela s'était empiré lorsque son père l'eut quitté un 29 août 2006, alors qu'elle n'avait que 13 ans. Amaya sombrait dans le désespoir, et avait pleuré toutes ses larmes. Elle avait alors était prise en charge par une bonne femme que les services sociaux lui avait attribué, en tant que tutrice. Elle venait tous les soirs, lui faisait à manger, la lessive, le ménage. Elle ne l'avait jamais considérer comme une mère mais plutôt comme une nourrice. Elle n'avait non plus jamais su son nom. Elle avait donc choisi de l'appeler "Pam", rien de banal. La vie d'Amaya reprit son cours. Elle le vivait mieux. Elle réussissait, quelques fois à sourire. Elle avait même changé de style, en 5eme, elle était devenue la "Sweet lolita" du bahut. Malgré ce grand changement, sa période de collège ne fut pas la plus agréable. Elle ne s'était pas faite plus d'amis que plus jeune. Elle disait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle pouvait avancer et évoluer sans personne à ses côté, ce qu'elle avait fait pendant toutes ses années. En outre, en 4eme, elle connu une jeune australienne, qui ne parlait pas un mot de Japonais. Elles se comprenaient tout de même: un sourire, un geste, et le tour était joué. L'australienne l'acceptait telle qu'elle était: son style, ses passions, sa vie... Mais Joya (tel était son nom), n'était resté que quelques mois. Quelques mois qui furent gravés dans la mémoire d'Amaya. A sa sortie du collège, Pam savait qu’Amaya ne se sentirai pas à l’aise dans un lycée normal. Elle avait donc l'intension de la faire intégrer un lycée privé, ou plutôt un pensionnat. Elle se mit donc à travailler comme une folle pour pouvoir lui offrir cette entrée... dans le fameux pensionnat Shôta. Un pensionnat de grande renommée. Amaya, 17ans, commença donc sa seconde au pensionnat Shôta....