Mitsurugi KirieMessages : 24 Votre personnageÂge : 15 ans/Première annéeClasse ou Emploie: Club : Aucun
| Sujet: [Terminée] Mitsurugi Kirie. Dim 20 Mar 2011 - 0:23 | |
| Mitsurugi Kirie.
| Date & lieu de naissance : Née à Erimo, en l'an 1995. Âge : Âgée de 15 ans. Groupe : Musician Kid. Spécialité : (neient)
|
Description physique : Kirie est objectivement une fille mignonne. Son visage est fin, sa peau ne comporte pas d'imperfections flagrantes, son nez, non pas excessivement court, n'est pas non plus trop long ou trop gros ; et sa bouche est mince, esquissant de temps à autres, un timide sourire qui semble peiner à poindre. En somme un visage bien proportionné. Pour ce qui est de la silhouette, elle est assez peu dotée au niveau des courbes ; pourtant sa finesse et son profil équilibré rehaussent quelque peu ce manque. Elle mesure un mètre soixante pile. Le cou est fin, et descend sur des épaules fort belles. Si l'on se cantonne donc à cela, il est clair que la jeune fille n'est pas une personne que nous pourrions nommer, communément, un "canon" ; elle semblerait tout à fait ordinaire et ne ferait pas retourner les passants sur son chemin. Pourtant sa physionomie ne s'arrête pas là ; et la singularité qui est sienne mérite bien évidemment d'être décrite.
Ses cheveux d'un blanc de neige, ses yeux couleur de sang et sa peau pâle, livide même, à tel point que l'on pourrait la croire morte ; tout cela, vous l'aurez aisément deviné, correspond au caractère de l'albinisme. Cette rareté est ce qui la caractérise le plus, et la fait partout remarquer. Cet albinisme la rend, une fois dénudée, beaucoup moins agréable à voir : sa blancheur cadavérique laisse voir, sous sa peau, les voies bleues que forment ses plus grosses veines ; ses bras surtout sont fortement marqués par ces vaisseaux sinueux. Mais -faisons-le entendre- insistons sur le fait que s'ils ne couvrent pas chaque parcelle de peau, elles parcourent son corps. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle se découvre peu, méprisant maillots de bains et chemises à manches courtes, reniant les pantalons courts : ce défaut marqué la fait complexer. Cela, ainsi que pour un autre fait sur lequel nous reviendrons en la partie mentale : ses poignets et le haut de ses bras, juste en-dessous ses épaules, sont parcourus de fines lignes soigneusement disposées de façon parallèles. Gravées à même la chair.
Ne dévions pas. Restons plutôt sur sa façon de se vêtir, que nous pourrions résumer en deux adjectifs : élégante ; sombre. Sa garde-robe est presque essentiellement composée de complets, dont la plupart est de la couleur de la nuit. Il en va de même pour ses serre-tête et ses souliers cirés ; seules ses chemises sont blanches. Enfin, autant par souci de coquetterie et de confort que pour cacher ses poignets marqués et ses mains veinulées, elle porte une paire de gants -comme l'on peut s'y attendre, noire. Enfin, elle porte d'ordinaire une paire de lunettes très épaisses, aux verres progressifs : son albinisme veut que ses yeux soient d'une sensibilité à la lumière très grande, en plus d'être dotés d'une vue très mauvaise. Nous pouvons donc voir là une jeune fille sombre, mais bien mise et assez bien faite.
Le dernier point portera sur son expression. Souvent pensive, et les yeux perdus au fond d'une immensité qu'elle semble sonder sans jamais en voir le fond, elle lui donne globalement un air triste. Ses sourires sont peu fréquents, voire rares ; et cela y ajoute. Cependant, s'ils sont peu prompts à poindre, ils illuminent alors qu'ils apparaissent un visage plein de charmes. Elle semble alors quiète, comme si elle se complaisait dans une grande sérénité. Nous ferons le lien avec un trait de son caractère. Passons-y sans plus attendre.
Description mentale : Son apparat endeuillé est très révélateur de sa personnalité. Elle est en effet très sombre, refermée sur elle-même ; Kirie est une fille malheureuse et mal dans sa peau. L'usure du remord, causée par le chagrin, l'a consumée presque toute. Cependant, elle tâche de se relever tant bien que mal, et laisse le temps faire son office et cautériser la plaie encore fraîche qui marque son âme. Le lien est à faire avec son pragmatisme, évoqué plus bas. Il est de même à noter que la moindre distraction la détourne de ses sombres pensées ; en particulier un livre ou la musique. Enfin, si sa timidité et son caparaçon sont difficiles à briser, l'affection et l'attachement qu'elle peut éprouver envers les êtres aimés sont infinis. Et d'eux elle peut endurer force choses sans sourciller. Pourtant, son caractère fait qu'elle n'est sûre de rien, et l'amitié des autres ne fait pas exception. Elle ne supporte pas d'être rejetée des gens qui lui sont chers.
Progressons. Kirie est de nature calme et patiente. Il ne lui est arrivée d'exploser qu'en une seule occasion en toute sa vie ; et comme lorsque les caractères posés et endurants sont poussés à bout, cela fut effroyable. C'est de ce trait donc que vient son côté prosaïque et très pragmatique. Elle prend ordinairement son temps pour réfléchir à ses actes et les mesurer. Ce qui la rend assez peu prompte à agir, et c'est un reproche que l'on lui fait souvent ; car bien souvent il est trop tard lorsqu'elle est résolue. Las ! comment pourrait-il en être autrement ? C'est qu'elle ne sait agir avec précipitation ; à ce moment-là elle est confuse, s'inquiète, panique, et le résultat est une vraie catastrophe. Posée, mais maladroite.
Il y a quelque chose qui occupe sa vie entière, et sur laquelle elle focalise toute sa pensée. Qui la distrait et l'apaise, qui la sort de sa triste nostalgie du passé. Elle se lave le cœur en s'y adonnant, et tous ses efforts sont concentrés sur cette activité à tel point que cela tourne parfois à l'acharnement dans l'entraînement. Nous voulons parler de la musique ; car Kirie est hautboïste depuis ses onze années, et touche quelque peu le clavecin. Nous disons quelque peu, car elle n'a jamais pris de réels cours, se contentant de tâter le clavier avec sa mère ; et c'est à son grand dam car cela est pour elle un rêve.
Ses goûts généraux sont peu communs aux jeunes gens de son âge. Elle aime les choses anciennes, respirant l'âge et le passé. Si sa passion n'eût été la musique, elle serait devenue antiquaire, ou historienne. Les lieux chargée d'histoire la fascinent. Elle y peut laisser libre cours à son imagination, rêver de ce qui s'y a pu passer, revivre leurs grands évènements... ce goût pour l'ancienneté touche aussi sa seconde grande passion, qui est la littérature. Les textes des grands auteurs d'Europe et d'Asie, aux tournures archaïques et pompeuses, lui font briller les yeux. Et même la musique en est affectée, car son goût porte principalement sur les musiques baroques du Vieux Continent. Marais est sa référence, Vivaldi son idole, Bach son Dieu.
Histoire : Cela se passa à Erimo, un matin du mois de Décembre de l'an 1995. Le couple Mitsurugi allait avoir un enfant, et Ai, future mère, venait de perdre les eaux... mais l'on ne se pouvait déplacer : le linceul blanc de l'hiver avait recouvert la ville et ses routes. Qu'à cela ne tienne ! Le médecin fut mandé d'urgence. Ainsi l'enfant naquit dans la maison, alors que le Soleil naissant éclairait faiblement charmant tableau de la maman, sur son lit couvert de sang ; il devait être aux huit heures. Lorsqu'elle arriva au monde, toute la maisonnée fut prise d'effroi ; la peau de la petite fille -car c'était une petite fille- était d'une couleur lunaire, et ses yeux entr'ouverts laissaient apercevoir des iris rougeoyants. La pauvrette naissait albinos.
Sa mère, anciennement professeur de clavecin, avait elle-même convenu du nom bien avant sa naissance, en écoutant le Kyrie du Requiem de Mozart. C'est ainsi que l'enfant se nomma... Kirie. Les sept premières années de sa vie furent aussi agitées que le jour de sa naissance : le couple de ses parents se fissurait peu à peu, et les disputes devinrent au fil du temps monnaie courante ; et il fallut bien s'accommoder de son albinisme, qui faisait peur aux autres enfants. Repoussée par les petits de son âge, elle eut pourtant un ami, qui seul l'accepta sans regard sur son état, ni crainte. Il s'appelait Heishirô ; et avec lui elle eut un lien affectif extrêmement fort.
Indubitable était la séparation de ses parents. Malgré son jeune âge, Kirie l'avait compris ; et elle attendait ce jour avec un mélange de crainte et de soulagement. Pendant donc sept ans, l'échéance en fut retardée ; pourtant il fallut bien que ce jour arrivât... le quatorzième du mois de Juillet resterait gravé dans son souvenir. Cela se passa d'une façon fort étrange. Il y avait eu une ixième dispute ; et la jeune fille, devant la violence inédite des hurlements, était partie se réfugier dans le creux des bras de Heishirô, lui qui était sa seule épaule secourable. Elle resta longtemps avec lui, et il l'écouta, la consola, la raisonna même avec une incroyable patience. Ai revint la quérir au point du soir ; et le lendemain, mère et fille plièrent leurs bagages.
Kirie découvrit avec une certaine déception que leur départ avait été préparé de longue date, avec une froide minutie. Un appartement en Kyôto avait été loué, un poste au conservatoire était alloué à sa mère, et elle-même se vit inscrite à une nouvelle école sans qu'on lui en parlât une seule fois... cela se passa fort mal. Classée au rang des curiosités par ses camarades, elle n'eut pas plus d'amis ici qu'à Erimo. Sa seule consolation fut son entrée au conservatoire, rêve qu'elle voulait, grâce à l'influence de sa mère, réaliser depuis toute petite ; c'est après force délibérations qu'elle tomba amoureuse du langoureux hautbois. En parallèle, elle correspondait avec l'ami qu'elle avait abandonné dans son bourg natal ; d'abord avec quelque aide maternelle, puis tout à fait seule lorsqu'elle sut écrire convenablement. C'était à lui seul qu'elle pouvait ouvrir son cœur pleinement ; lui seul recevait ses épanchements, ses peines, ses craintes. Et comme dans toute amitié aussi forte, cela était réciproque. Ainsi, portée par les mornes journées d'école, l'apprentissage instrumental, et en été les visites qu'elle rendait à Heishirô et son père, la vie suivit son paisible cours jusqu'à son entrée au collège.
Si les débuts furent pour elle difficiles, en le sens où elle ne connaissait là non plus personne, elle se rendit très vite compte qu'elle pouvait tirer un certain avantage de cette méconnaissance si elle donnait derrière un coup de pouce à la chance. Ainsi, elle se força à s'ouvrir davantage aux autres ; et à force de complaisance elle réussit à se ménager une place auprès d'un petit cercle. Heureuse de cette nouveauté, heureuse d'avoir enfin pu parvenir à s'intégrer en société, elle ne se rendait pas compte qu'elle était ce que l'on appelle le dindon de la farce. Une attraction fort serviable au reste, qui n'y voyait goutte dans les intentions de ses « amis » alors que les piques fusaient à tout va. Heishirô jamais ne les rencontra, et ne put la mettre en garde contre les « merveilleuses gens » que Kirie lui décrivait. Il ne fut en mesure que d'être heureux pour elle.
Il s'opéra à sa deuxième année de collège un réel changement, auquel elle ne s'attendait pas. Cela arriva en définitive assez simplement. Un fait divers, sitôt apparu qu'il disparaissait déjà des médias, une parenthèse du journal télévisé du soir. Une seconde date qu'elle n'oublierait jamais, pas plus que l'avis de décès aussi plat qu'une lettre d'huissier qu'elle avait reçu, et qu'elle conserverait toujours sur elle.
« Monsieur et Madame KÔZUMI ont la douleur de vous faire part du décès de leur fils, KÔZUMI HEISHIRÔ survenu brusquement le 5 Août. »
Renversé par une voiture. Une des morts les plus ridicules qui soient...
Il était convenu que les funérailles fussent célébrées en Erimo. Toute sa vie durant, Kirie se rappellerait de cette journée comme la plus abominable de son existence. Au milieu de tous ces pleurs, de tous ces gens unis dans le malheur, il lui semblait être plus seule que jamais. D'être tout-à-fait devenue une ombre, un fantôme perdu. Un isolat. La seule attention que l'on lui accorda fut lorsque les parents Kôzumi lui léguèrent le seul souvenir qu'il lui resterait de son ami ; un anneau d'argent qu'il voulait lui offrir à sa prochaine visite, orné d'une magnifique pierre écarlate. Pour elle, une relique sacrée.
Puisque Kirie refusa de rendre visite à son père, ils rentrèrent une fois la cérémonie terminée. Et si nul pleur ne fut versé ni devant sa mère, ni une fois seule, il fallut qu'elle trouvât un moyen d'expier sa douleur. C'est ainsi que le lendemain matin, alors que Kirie, ayant refusé de s'accorder quelque période de deuil, Mitsurugi Ai trouva les draps de sa fille auréolés de sang. Et de déduire que sa fille devenait une femme. Si seulement, en cet instant, elle eût été plus perspicace... Les choses pour elle allèrent de mal en pis. Désireuse de se raccrocher à quelque chose et ne parvenant pas à se tourner vers sa mère, il ne lui resta que les vils hypocrites qu'elle fréquentait.
Sa dépression fut assimilée à quelque caprice, et elle, sans oser rien dire, endurait. La musique plus que jamais fut un échappatoire ; et avec la croissance de sa pratique musicale la jeune fille décida de se plonger plus avant dans la lecture, qu'elle jugeait reposante pour son esprit assailli. Hélas, cela ne suffisait pas, et elle paya au prix du sang un peu de l'éphémère quiétude morale conférée par la lame de rasoir qu'elle cachait soigneusement dans sa table de nuit. Ce changement fut par ailleurs tant moral que physique, car désormais elle se parait, une fois l'uniforme scolaire quitté, de son éternel complet noir.
La troisième et dernière année de collège fut pour elle la pire. Les piques s'étaient muées en moqueries, et le nouveau grand jeu fut de savoir qui viendrait à bout de la patience légendaire de Kirie. Des conjonctures, puis très vite des paris, se firent sur cela ; et pour remporter sa part chacun y mit du sien. Les journées devenaient au fil du temps de plus en plus pénibles pour elle, qui pourtant continuait de se voiler la face. Et quand sa mère lui demandait comment s'était passée l'école, elle se contentait de hausser les épaules, et de dire, d'un ton totalement neutre, indifférent : « Bien ». Durant ce temps, Kirie se rendit compte d'une chose fort importante pour son attitude vis-à-vis de sa mère, quand pour son anniversaire sa mère lui offrit un cadeau d'une valeur pour elle inestimable, qu'elle n'osait toucher lorsqu'elle le vit. Un bien aussi précieux que la bague de Heishorô ; et cela n'était pas peu dire. Cela, comme l'on s'y pourrait attendre, fut un hautbois. SON hautbois, trésor qu'elle garderait jalousement, avec l'avidité d'une maman couvant son nouveau-né. Il devint clair à ses yeux que si elle avait agi en ingrate, Ai ne s'en saignait pas moins aux quatre veines pour sa fille. Hors de question alors de l'inquiéter sur quoi que ce fût.
Il est dans l'ordre des choses que les corps les plus résistants s'effritent. La roche qui s'érode ou le bois qui pourrit, sont comparables à la patience, qui disparaît à mesure que les assauts contre elle sont répétés. Le Mur de Berlin avait mis des décennies à tomber ; la réserve de Kirie n'en demanda pas tant. Cela mérite d'être raconté, car c'est un autre événement fort important de sa vie ; le troisième pour être exact après la séparation et le décès. Il précède l'entrée au pensionnat Shôta ; mais ne brûlons pas les étapes et continuons.
Kirie arriva en cours ce jour-là comme à son habitude. Le dernier jour de classe, plus précisément. C'était une journée bien monotone, dont le déroulement a été substitué à la mémoire de la jeune nippone. Ce qu'elle en retient encore fut sa fin, le moment des adieux ; car ce fut un vrai rendez-vous d'infamie. Ceux qui avaient parié qu'elle craquerait avant la fin de l'année tentaient en effet le tout pour le tout dans le domaine des piques et des plaisanteries. Il y en eut pourtant une, plus téméraire que les autres, qui osa aller plus avant. En lui prenant sa précieuse protection contre son ennemi, le Soleil... ses lunettes. La lumière vint immédiatement lui agresser les yeux, et la pauvrette de s'agiter dans tous les sens, une main les couvrant, pour récupérer les verres dérobés. La vermine alla plus loin encore. Profitant de son aveuglement, elle poussa Kirie qui s'étala au sol, face contre terre. Quelques rires fusèrent, d'autres, plus raisonnables et dépités devant tant d'ordurie, préférèrent s'en aller... mais aucun ne lui tendit une main. Il est superflu, et d'ailleurs impossible, de décrire l'état moral dans lequel se trouvait la molestée. Face à l'humiliation, la traîtrise ; face à cette situation où son humanité même était flouée, que lui restait-il ? La haine. Elle récupéra tant ses lunettes que sa dignité. L'œil pour l'œil, la dent pour la dent... Kirie apprit que la rage aveugle décuplait les forces, pour la première fois. Sa mère n'en sut, en revanche, rien. Jamais.
Il fallut songer à s'inscrire en un lycée. Mitsurugi Ai, fort soucieuse de doter sa fille de toutes les chances possibles pour son futur, chercha l'établissement le plus prestigieux à l'entour ; ce malgré les supplications de la fille qui ne souhaitait pour rien au monde ruiner sa mère. Elle cibla trois écoles, dont le réputé pensionnat Shôta... une semaine à compter de ce jour, la lettre d'acceptation tremblait dans les mains d'Ai, partagée entre la nausée de l'émotion et la fierté immense. Et au grand dam de Kirie qui se voyait, encore, comme un poids...
« Je compenserai cela. Maman en aura pour son argent ; car je réussirai. »
&. vous ? Prénom / nom : Quentin. D'initiale R. pour le nom de famille ; cela sera tout.Age réel : 17 ans, 18 au mois d'Octobre.Comment êtes-vous tombés ici ? : Par conseil de la Kamarade Ayu Atoshi.Votre avis sur le forum : Si le design m'a au premier abord agressé les yeux (au sens propre ; car mes yeux sont nuls et le forum très clair xD), j'ai pourtant été séduit par le concept. Les gens ont l'ait agréables ; nous verrons de quoi il en retourne ! :)Et sinon, t'aime les fraises ? <3 : Surtout le sucre qui va avec ; mais oui. ~C'est qui votre avatar ?: L'image se nomme "Murderer", réalisée par Licheus de Deviantart.Code :
Dernière édition par Mitsurugi Kirie le Dim 11 Sep 2011 - 15:49, édité 11 fois |
|